Pressenza IPA
Les professeures et professeurs des universités Québécoises s’unissent pour oeuvrer à la sortie de la crise
Le professeurs dénoncent l’usage de la répression pour régler le conflit. Ils exigent de véritables négociations et une participation importante aux décisions qui se rapportent à l’université. Ne reconnaissons pas la Conférence des recteurs et principaux des universités du Québec (CREPUQ) comme le porte-parole de l’Université québécoise qu’elle prétend incarner.
VENEZUELA – Un lac sauvé, un village agro-écologique en construction : l’écologie en mouvement
Le lac « Los Tacarigua » était devenu un immense égout que des années de déversements chimiques d’industries privées et d’égouts urbains, sans le moindre contrôle de la part de l’État, avaient condamné à une mort définitive. Il est aujourd’hui assaini à 80%. La réapparition des oiseaux est une preuve de son retour à la vie. On y pêche et vend de grandes quantités de poissons.
Entretien avec le philosophe argentino-mexicain Enrique Dussel
Pendant les Journées théologiques de la région Nord qui ont eu lieu du 5 au 8 octobre dans la ville de Mexico avec la participation de représentants de la théologie de la libération, particulièrement mexicains et hispanos des États-Unis et du Canada, ADITAL a rencontré Enrique Dussel, philosophe, théologien et professeur de l’Université nationale autonome de Mexico – UNAM.
L’Argentine adopte une loi historique sur l’identité de genre
Le Sénat argentin a adopté la loi sur le genre. Le texte reconnaît le genre comme une expérience personnelle et ouvre la possibilité de modifier le genre figurant sur les papiers d’identité sans avoir recours à des traitements hormonaux ou une opération de réassignation.Après l’ouverture du mariage en 2010, l’Argentine se pose une nouvelle fois comme un pays précurseur.
Nous devons raisonner…
Nous devons raisonner, nous devons raisonner, nous devons raisonner, continuer à raisonner … Nous devons revenir à ces envies de changer les choses, Nous devons sortir des broussailles pour trouver le fil qui permet la continuité … Nous devons raisonner. Nous devons parler, parler de nous, parler de nos rêves matérialisés en faits,
Cette année le Burkina Faso abandonne le coton OGM
Le Burkina Faso était le fer de lance du coton transgénique en Afrique de l’Ouest. Très déçues par les rendements et la qualité de ce coton OGM (Organisme génétiquement modifié), les sociétés cotonnières burkinabè reviennent cette année au coton conventionnel. Le coton transgénique n’a pas tenu ses promesses au Burkina Faso.
L’heure de la désobéissance civile
J’ai fait l’objet d’une mise en garde. Non pas avec dans une cave lugubre avec des lumières à vous aveugler comme on le voit souvent au cinéma et sans les interrogateurs du Shin Bet qui hurlaient ou caressaient.
La mise en garde a été menée par des fonctionnaires de l’unité d’inspection des constructions du Ministère de l’Intérieur, à Jérusalem.
Élections en France : «Le but des hommes politiques ne devrait pas être de garder le pouvoir, mais de promouvoir des valeurs»
Dans un interview donnée au journal algérien El Watan, Tzvetan Todorov, directeur de recherche honoraire au CNRS, historien des idées et auteur de nombreux ouvrages(1), livre ses réflexions sur la campagne pour la présidentielle française et s’interroge ,par-delà, sur ce que devrait être la mission des dirigeants politiques.
Les victimes d’un massacre obtiennent justice
Ce texte de Louisa Reynolds, publié sur le site de [Noticias Aliadas](http://www.comunicacionesaliadas.org/articles.asp?art=6589) le 23 mars 2012, revient sur la condamnation, par un tribunal guatémaltèque, d’un autre militaire ayant participé au massacre de Dos Erres en 1982.
[Sur Alterinfos](http://www.dial-infos.org/alterinfos/spip.php?article5482)
Videla a admis que des « chefs d’entreprises » ont collaboré avec la dictature
Le tortionnaire Jorge Rafal Videla a admis que la dernière dictature militaire a fait disparaître « sept ou huit mille personnes » et pour justifier les crimes il a assuré « qu’il n’y avait pas d’autres solutions ». De plus, le génocidaire a accepté la complicité civile de « chefs d’entreprises » même s’il leur reproche leurs attitudes passées.









