Philipe Moal est le Co-fondateur de l’Observatoire de la non-violence et membre du Centre Mondial d’Études Humanistes. Il est l’auteur de « Violence, conscience, non-violence » publié chez L’Harmattan et patronné par la Commission nationale pour l’UNESCO. https://o-nv.org contact@o-nv.org. Contact : pmoal2012@gmail.com

Il nous invite au cours de sa conférence intitulée « Quelques pistes pour la non-violence » suivie d’un atelier sur le « rejet viscéral de la violence » à mieux comprendre la violence, celle qui nous entoure mais aussi celle qui nous implique. Il souligne que la question n’est pas tant de savoir s ‘il y a plus ou moins de violence aujourd’hui mais plutôt si la Non-violence est en progression.

La conférence ainsi que l’atelier qu’il a donné à Paris et à Toulouse ont la particularité d’être interactifs et de permettre aux participants de vivre une expérience afin de se connecter au rejet viscéral de la violence. Ces échanges lui apportent un enrichissement pour ses écrits et ses livres.

Faisant suite à sa conférence « Quelques pistes pour la non-violence » Philippe Moal a invité quelques participants à un atelier informel sur le thème du ‘rejet viscéral de la violence’.

Nous avons recueillit quelques témoignages.

 

Lien vers l’intégralité de la conférence :

https://youtu.be/ewkeVIyQjd0

 

Liens vers les articles de Pressenza

Nous vous transmettons l’étude « Quelques pistes pour la non-violence » réalisée par Philippe Moal, sous forme de 12 chapitres. Le sommaire général est le suivant :

1- Où va-t-on ?  
2- La difficile transition de la violence à la non-violence.
3- Ces préjugés qui perpétuent la violence.
4- Y a-t-il plus ou moins de violence qu’hier ?
5- Les spirales de violence.
6- Déconnexion, fuite et hyper-connexion (a- Déconnexion).
7- Déconnexion, fuite et hyper-connexion (b- La fuite).
8- Déconnexion, fuite et hyper-connexion (c- hyper-connexion).
9- Le rejet viscéral de la violence.
10- Le rôle décisif de la conscience.
11- Transformation ou immobilisation.
12- Intégrer et dépasser la dualité et Conclusion.