Selon le président Gustavo Petro, « la reprise des négociations entre le gouvernement colombien et l’ELN est l’une des priorités de la politique de paix totale du gouvernement actuel, qui a été formalisée le 21 novembre 2022, lorsque les parties ont mis en place une table de dialogue pour reprendre la négociation d’un accord de paix ».

« Le 25 novembre, les parties ont confirmé Cuba, le Venezuela et la Norvège comme pays garants et ont invité le Brésil, le Chili et le Mexique à exercer également ce rôle », selon une note du ministère des Affaires étrangères.

En réponse à cette invitation, le gouvernement brésilien de Luis Ignacio Da Silva vient d’accepter le rôle de garant dans les pourparlers de paix, acceptant l’invitation de la Colombie à reprendre sa participation, en tant que pays garant, aux pourparlers de paix avec l’Armée de libération nationale (ELN).

« Le Brésil fait à nouveau partie du processus, qui est fondamental pour la consolidation de la paix en Colombie et, par conséquent, d’une grande importance pour la région et le monde », indique le communiqué de presse remis aux médias aujourd’hui.