Par Jean-Marie Collin, “Blog Défense et Géopolitique, Alternatives-Internationales

GRIP : Groupe de recherche et d’information sur la paix et la sécurité

ENMOD : Convention sur l’interdiction d’utiliser des techniques de modification de l’environnement à des fins militaires ou toutes autres fins hostiles

A la veille de la 21e Conférence des Parties à la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC), il est intéressant de lire cet éclairage du GRIP  sur ce que la COP 21 n’évoquera pas : l’impact des forces armées sur le changement climatique, en temps de paix comme en temps de guerre.

Cette “Eclairage” du GRIP n’a pas pour objectif “de démontrer pourquoi la militarisation galopante de notre planète est une cause majeure de la détérioration de nos écosystèmes. Ni de rappeler l’évidence que la guerre exerce une action intrinsèquement destructrice sur l’environnement. Pas plus que de nous interroger sur les raisons de la non-prise en compte de l’empreinte écologique des activités militaires. Il est de rappeler que l’environnement, toujours victime collatérale des conflits et activités militaires, peut aussi devenir une arme en soi, et qu’il est urgent de nous préoccuper des instruments de droit qui s’attachent à prévenir ce risque”.

La réflexion est portée sur :

  • La guerre, le droit et l’environnement.
  • Une Convention imparfaite et oubliée.
  • Une militarisation rampante de l’ingénierie du climat.

Un éclairage du GRIP écrit par Luc Mampaey est le directeur du GRIP, docteur en sciences économiques, ingénieur commercial et titulaire d’une maîtrise en gestion de l’environnement.

L’article original est accessible ici