Photo de École Colegiatura Colombiana

Le 1er congrès ‘Un Autre Monde, Bonheur et Créativité pour la Diversité Durable de l’être humain’ s’est terminé. Des spécialistes de diverses domaines de la connaissance, comme la psychologie, le design, l’art et l’économie et venus de tous pays comme l’Espagne, l’Inde, le Bhoutan, ainsi que les autres participants ont reconnu le succès des échanges réalisés tout au long de ces trois jours à Medellín en Colombie.

Liliana Díaz Santamaría, la Directrice de la section universitaire de l’École Colegiatura de Colombia nous a indiqué que 1700 personnes ont participé à cet événement. Selon ses mots « nous sommes en train de rompre avec un ancien modèle. Désormais, il existe de nouvelles façons de nous voir nous-mêmes, d’autres modes de relations. De nombreuses personnes qui étaient ici considèrent que cet espace leur est propre et depuis leur point de vue d’être humain, ça leur a permis de commencer à ouvrir de nouvelles possibilités dans leurs vies. »

Selon son point de vue, Liliana Diaz Santamaria a commenté que « le Congrès a généré une conscience entre les êtres humains qui se rendent responsables d’eux mêmes et de leurs entourage. À partir de ça, on peut commencer à changer la façon dont nous construisons nos vies quotidiennes. »

Au cours de ce Congrès, un accompagnement créatif commun plus rapproché avec les organisations gouvernementales et non-gouvernementales a été conclu. En commentant ses propres attentes de transformations, Madame Diaz Santamaria a ajouté que, pendant ce Congrès, « nous nous sommes rendus compte que nous sommes responsables de ce que nous faisons et non seulement du résultat. Tous les paramètres sont donnés pour que ces relations se fassent mais ce que feront les autres aussi sera décisif. »

En attendant le 2ème Congrès International Un Autre Monde, prévu en 2015, nous nous sommes engagés à maintenir activement cette dynamique de réflexion et d’échanges afin que ce premier congrès soit la première étape d’un processus sur le long terme.

Source audio tirée de la radio « La Esquina ».

Traduction de l’espagnol : Marie Le Berrigo