Commentaires sur les facteurs essentiels pour l’organisation de la Marche Mondiale pour la Paix et la Nonviolence, par Fernando García, auteur du livre « Humanisme en Inde » :

Depuis l’Inde, nous devenons les porte-parole d’un sentiment qui voyage à travers le monde et qui est lancé de tous les continents en même temps.

Un besoin croissant de paix, la nécessité de créer une relation nonviolente dans toutes les sphères de la société au niveau mondial.

Cette transmission se fait depuis Kannur, au Kerala, dans le sud de l’Inde.

Partout dans le monde, les guerres se multiplient

La menace nucléaire augmente, les migrations massives augmentent.

Une catastrophe écologique menace la terre.

Au niveau interpersonnel, les relations deviennent de plus en plus négatives.

Il y a la dépression, le suicide, la consommation de drogues et d’alcool.

À bien des égards, le paysage qui nous entoure s’assombrit.

Donc, si nous relions toutes ces pensées, qu’obtiendrons-nous ? un monde qui manque de paix et qui est en proie à de nombreuses formes de violence.

Cela se produit aux niveaux mondial, national et interpersonnel, ainsi qu’au sein de chaque personne au niveau individuel.

Ce n’est pas quelque chose qui peut être résolu avec un peu d’ordre public, c’est plus que cela

L’orientation de notre vie sociale et personnelle est en train de changer.

Ce n’est pas seulement un idéal ou une inspiration.

C’est une question de survie, notre survie en tant qu’êtres humains.

Nous sommes donc la seule organisation au monde qui met en évidence cette situation, cette situation mondiale, cette crise générale.

Nous sommes la seule organisation qui invite différentes personnes du monde entier à se joindre à nous, à faire quelque chose pour changer cela.

C’est pourquoi cette « Marche mondiale pour la Paix et la Nonviolence » est plus importante que jamais.

Fernando Garcia

L’article original est accessible ici