Le lundi 17 juin, l’un des tweets dystopiques de Trump a annoncé : « La semaine prochaine, l’ICE [N.d.T. Immigration and Customs Enforcement] entamera le processus d’expulsion des millions d’étrangers en situation irrégulière qui ont illégalement trouvé leur chemin aux États-Unis. Ils seront expulsés aussi vite qu’ils arriveront. » Mais alors que, au contrario, un nouveau rapport dit : « Les chiffres et les faits recueillis montrent que, bien que les migrations aient lieu dans toutes les parties du monde, elles ne constituent pas une menace pour le tissu social des pays ni de destination ni d’origine ».

A Berlin, la fondation Rosa-Luxemburg-Stiftung a publié un rapport de 50 pages intitulé « L’Atlas des faits et chiffres migratoires sur les personnes en déplacement » qui aborde les nombreuses réalités et facettes de la migration et encourage une approche différenciée. Dans le climat social actuel, il faut du courage pour aborder cette question calmement et reconnaître que l’immigration pluralise nos sociétés au sens démocratique.

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