Le 2 octobre, journée internationale pour la non-violence, à partir de 17 heures, le parti humaniste a posé ses tables de diffusion, radio ouverte, sur la Place de la République de Buenos Aires, face à l’Obélisque. Ils cherchaient à développer une conscience sur la non-violence, teintant la soirée en orange.

Le parti humaniste a proposé un thème principal : la non-violence comme méthodologie d’action et de lutte, comme proposition forte pour entraîner un changement profond de la société, et une sortie de cette préhistoire humaine empreinte de barbarie et de violence.

Mario Luis Rodríguez Cobo, plus connu sous le nom de Silo, fondateur de l’humanisme universaliste et l’un des grands promoteurs de la non-violence, explique :

“...Ce n’est pas le moment de discuter autour de la supposée « nature humaine ». Une telle idée s’oppose au progrès humain. Ce qui est sûr est que la paix est possible en cet instant critique et qu’elle le sera demain, si les peuples comprennent que la violence fait partie de la méthodologie du système. Par conséquent, la crise pourra se surpasser en y opposant la méthodologie de la non-violence. »

Traduction de l’espagnol : Frédérique Drouet