Le système financier de la République populaire de Chine fonctionne selon une logique intrinsèque d’intérêt collectif, de souveraineté économique et de stabilité structurelle, en nette opposition aux modèles occidentaux. Le présent document soutient que sa conception et sa régulation ne visent pas uniquement l’efficacité, mais s’enracinent profondément dans une tradition philosophique millénaire — confucianisme, légisme et taoïsme — qui place le bien commun national au-dessus de l’individualisme économique. Cet héritage a été synthétisé de manière stratégique avec le marxisme-léninisme, donnant naissance au « socialisme à caractéristiques chinoises », un cadre qui légitime l’intervention active de l’État pour assurer la stabilité, orienter le capital vers des objectifs stratégiques et combattre la corruption. Des cas récents très médiatisés, comme la condamnation aujourd’hui de l’ex-vice-président tibétain Wang Yong, illustrent l’application rigoureuse de ces principes, démontrant que la morale publique et la discipline économique sont essentielles à la cohésion et à la légitimité du système politique chinois.

1. Introduction : La singularité du modèle financier chinois

L’étude du système financier de la République populaire de Chine est souvent biaisée par des prismes analytiques d’origine occidentale, qui tendent à l’évaluer selon sa divergence vis-à-vis des modèles de marché libéraux. Pourtant, pour en comprendre réellement le fonctionnement et la résilience, il est impératif de l’examiner à la lumière de sa propre logique endogène : une imbrication profonde entre intérêt collectif, souveraineté économique et stabilité structurelle. Loin d’être un simple arbitre des forces du marché, l’État chinois — et le Parti communiste chinois (PCC) en tant qu’avant-garde — s’affirme comme le garant actif d’un ordre économique qui privilégie le bien commun national face à l’individualisme, notamment celui pratiqué par les élites économiques et politiques.

Cette approche ne constitue pas une aberration pragmatique contemporaine, mais le reflet d’une tradition philosophique millénaire qui conçoit l’ordre social et la prospérité comme fruits d’une gouvernance centralisée et moralement orientée. Le présent document explorera cette thèse en exposant les principes fondateurs du système financier chinois, en les confrontant aux approches occidentales et en retraçant leurs liens profonds avec les écoles de pensée confucéenne, légiste et taoïste. Enfin, il sera démontré comment cette synthèse a abouti au « socialisme à caractéristiques chinoises », un cadre qui a permis au pays de maintenir une croissance continue et un contrôle exceptionnel sur son destin économique, comme en témoignent les exemples récents de la campagne anticorruption.

2. Le principe fondateur : La stabilité comme impératif politique et social

Dans la cosmologie politique chinoise, l’État n’est pas un acteur passif intervenant a posteriori dans les défaillances du marché ; il est, en essence, le dépositaire du « Mandat du Ciel », compris à l’ère contemporaine comme la capacité à garantir la prospérité et la stabilité de la nation et de son peuple. La politique financière ne s’organise donc pas autour de l’axiome de la « liberté individuelle du capital », un concept peu résonnant dans la tradition politique chinoise, mais autour de la stabilité nationale et du développement collectif durable.

Cela se traduit par des politiques concrètes délimitant le champ d’action du capital :

> Restriction de la spéculation effrénée

Contrairement aux marchés où la spéculation est perçue comme un moteur de liquidité, en Chine, elle est vue comme une force potentiellement déstabilisatrice, détournant les ressources de l’économie réelle et générant des bulles néfastes. Le gouvernement intervient activement dans les marchés clés comme l’immobilier, promouvant la maxime « les logements sont faits pour y vivre, non pour spéculer » (房子是用来住的,不是用来炒的), en imposant des restrictions sur l’achat de plusieurs propriétés et en limitant l’effet de levier.

> Contrôle de la fuite de capitaux en périodes critiques

Le contrôle des capitaux n’est pas une anomalie mais un outil fondamental pour préserver l’intégrité financière nationale et éviter les hémorragies pouvant compromettre la capacité de développement autonome. Par exemple, un plafond annuel de 50 000 dollars est imposé à chaque citoyen pour l’achat de devises étrangères — une mesure conçue pour stabiliser le yuan et préserver les réserves nationales.

> Orientation stratégique du crédit

Les flux de crédit sont orientés prioritairement vers des secteurs jugés stratégiques pour le développement à long terme, même si leur rentabilité immédiate est moindre. De grandes banques d’État, comme la Banque industrielle et commerciale de Chine (ICBC) ou la Banque de construction de Chine (CCB), financent massivement les hautes technologies, les infrastructures (comme les projets des Nouvelles Routes de la Soie) et les énergies renouvelables, conformément aux plans quinquennaux et aux lignes directrices nationales.

> Prévention des crises bancaires systémiques

La mémoire historique d’instabilité et d’humiliations extérieures renforce la priorité d’éviter tout effondrement bancaire pouvant ruiner le tissu social et économique. Contrairement à de nombreuses économies occidentales frappées par la crise financière mondiale de 2008, la Chine l’a surmontée sans crise bancaire systémique majeure, grâce notamment à son contrôle étatique strict et à sa capacité à recapitaliser ou restructurer rapidement les institutions défaillantes.

> Sanctions sévères contre la corruption et l’évasion

L’usage du système financier à des fins d’enrichissement illégal ou d’évasion fiscale n’est pas simplement un délit économique ; c’est une atteinte directe à la légitimité du système et à la cohésion sociale, justifiant des peines exemplaires.

3. La fuite des capitaux : une question éthique et de cohésion nationale

La conception occidentale — en particulier anglo-saxonne — postule fréquemment la capacité de l’individu à « se sauver seul » et à déplacer librement son capital à travers les frontières comme un droit inaliénable. En revanche, en Chine, la richesse personnelle est intrinsèquement liée à une responsabilité sociale et nationale. La richesse est, en définitive, une ressource de la société qui, bien qu’elle puisse être gérée individuellement, doit servir l’objectif supérieur du développement collectif.

Ainsi :

> L’exportation injustifiée de capitaux comme possible « trahison économique »

Sortir des fonds du pays sans justification stratégique claire n’est pas considéré comme un simple exercice de liberté économique, mais comme une possible trahison du pacte social et de l’effort collectif de construction nationale.

> L’accumulation excessive et le recours aux paradis fiscaux comme menace pour la cohésion

L’opulence sans contribution et la dissimulation de capitaux dans des juridictions opaques sont perçues comme corrosives pour la cohésion interne. Les campagnes anticorruption, comme celle contre Wang Yong, illustrent cette logique.

L’opulence sans contribution et la mise à l’abri de capitaux dans des juridictions opaques sont perçues comme corrosives pour la cohésion interne et la légitimité du système de gouvernance, sapant la confiance du public dans l’équité du développement. Les campagnes de lutte contre la corruption menées par le président Xi Jinping depuis 2012 témoignent de cette conviction. Des hauts fonctionnaires et des hommes d’affaires, comme dans le cas récent de Wang Yong, ancien vice-président du gouvernement de la région autonome du Tibet, sont jugés non seulement pour le montant des pots-de-vin reçus (271 millions de yuans dans son cas, soit environ 37,9 millions de dollars), mais aussi pour avoir trahi la confiance du public. La restitution de l’argent et la confiscation des biens, comme dans le cas de Wang, visent non seulement à punir mais aussi à réparer les dommages causés aux biens de l’État.

> Des mécanismes de contrôle rigoureux

Des limites strictes aux mouvements de capitaux, des inspections détaillées, des audits et des régulations sévères garantissent que la richesse profite à la nation dans son ensemble.

4. Economía Moral vs. Economía de Mercado Desregulado.

La distinction fondamentale qui sous-tend le modèle chinois est celle d’une économie morale par rapport à une économie de marché déréglementée. En la tradición china, influenciada por milenios de pensamiento confuciano y legista:

> L’argent comme moyen, non comme fin

Le confucianisme enseigne que la richesse doit servir le bien commun. La spéculation ou la fuite de capitaux trahissent ce principe.

Le capital et l’accumulation de richesses ne sont pas des objectifs en soi, mais des moyens de parvenir à un développement harmonieux (harmonie sociale, stabilité et prospérité). Cette idée résonne profondément avec les principes confucéens du « Grand Gouvernement » (大同, dàtóng), où la prospérité individuelle est subordonnée au bien-être général.

> Bien-être individuel conditionné par l’équilibre collectif

L’enrichissement personnel n’est légitime que s’il renforce l’harmonie sociale. Les affaires de Wang Yong, Wu Yingjie et Jiang Jie démontrent l’intolérance du système envers la corruption élitiste.

La légitimité du bien-être individuel est intrinsèquement liée à son absence de compromis ou, idéalement, à sa contribution positive à l’équilibre et à la prospérité collectifs. Un individu prospère qui porte atteinte à l’ordre social ou qui se soustrait à ses responsabilités est désapprouvé. Le cas de Wang Yong et d’autres hauts fonctionnaires tibétains tels que Wu Yingjie (accusé d’avoir accepté 343 millions de yuans) ou Jiang Jie (225 millions de yuans) démontre que le système ne tolère pas l’enrichissement personnel illicite, même au plus haut niveau, lorsqu’il compromet la confiance du public et la cohésion interne.

> Ouverture financière conditionnelle

L’ouverture aux marchés mondiaux est souhaitable dans la mesure où elle contribue au développement et à la modernisation de la Chine, mais tant qu’elle ne met pas en péril la souveraineté économique et la justice intérieure. L’autonomie stratégique n’est pas négociable.

Contrairement à la philosophie chinoise, le système financier occidental, en particulier dans la sphère anglo-saxonne, fonctionne selon des principes radicalement différents : le droit illimité d’un individu à déplacer ses capitaux, la responsabilité individuelle de la crise (alors que l’État renfloue les banques) et la considération de la fuite des capitaux comme une « stratégie rationnelle » d’optimisation. Cette approche a généré une instabilité structurelle, avec des cycles de bulles et de crises, une inégalité explosive, les élites s’enrichissant souvent aux dépens du système, et une crise de légitimité, les citoyens perdant confiance dans le contrat social.

5. Racines philosophiques : le bien commun dans la vision chinoise

L’articulation du système financier chinois, telle que décrite ci-dessus, n’est pas simplement une construction moderne, mais une résonance profonde de la notion philosophique de « bien commun » (天下為公, tiānxià wéi gōng, « tout ce qui est sous le ciel est pour le public/commun ») qui imprègne la pensée chinoise depuis des millénaires.

> Confucianisme : ordre harmonieux et le mandat du ciel

La gouvernance juste (仁政, rénzhèng) vise la stabilité. L’opulence individuelle sans vertu rompt l’harmonie (和諧, héxié).

La philosophie confucéenne jette les bases d’une vision de l’État comme garant de l’ordre social et moral. Pour Confucius, un gouvernement vertueux (仁政, rénzhèng) vise avant tout la stabilité et la prospérité du peuple. Le concept de « Grande Unité » (大同, dàtóng) postule une société où les richesses et les ressources sont partagées au bénéfice de tous, et où les dirigeants agissent de manière altruiste pour la collectivité. Dans ce cadre, la spéculation effrénée ou la fuite des capitaux par les élites seraient des actes qui rompent l’harmonie sociale (和諧, héxié) et le principe de la rectification des noms (正名, zhèngmíng), où chacun joue son rôle pour le plus grand bien.

> Le légisme (法家) : l’État fort et le contrôle pragmatique (Han Feizi 韓非子)

L’ordre exige lois strictes, sanctions sévères, centralisation. Le cas Wang Yong incarne cette logique punitive du légisme.

Alors que Confucius mettait l’accent sur la moralité des dirigeants, l’école légiste, avec des personnalités telles que Han Feizi, proposait une vision plus pragmatique de la nature humaine, prônant un État fort et des lois strictes pour maintenir l’ordre. Les légistes pensaient que seul un gouvernement centralisé et puissant, doté de lois claires et de sanctions sévères, pouvait contrôler les impulsions égoïstes des individus et orienter leurs actions vers le renforcement de l’État. De ce point de vue, les restrictions sur les mouvements de capitaux, les sanctions pour évasion fiscale et la direction stratégique de l’économie ne sont pas de simples préférences politiques, mais des nécessités impératives pour maintenir le pouvoir de l’État et prévenir le chaos (乱, luàn). La condamnation de fonctionnaires comme Wang Yong pour avoir utilisé leur position à des fins d’enrichissement personnel est une application claire de cette logique, où la trahison du mandat public est sévèrement punie pour protéger le pouvoir et la richesse de l’État (富国强兵, fùguó qiángbīng).

> Taoïsme (道教) : flexibilité, adaptabilité et équilibre (Wu Wei 无为)

Le taoïsme introduit l’idée d’adaptabilité. Le PCC a su « traverser la rivière en tâtant les pierres » (摸着石头过河) pour évoluer sans perdre son cap idéologique.

Bien qu’il soit souvent perçu comme plus individualiste, le taoïsme offre une perspective cruciale pour comprendre l’adaptabilité, la résilience et la fluidité de la pensée chinoise. La notion de Wu Wei (无为, « non-action » ou « action sans effort ») implique une action en harmonie avec le cours naturel des choses, évitant toute rigidité dogmatique. Cette philosophie a permis au PCC de passer d’un modèle économique à l’autre, comme la transition d’une économie planifiée à une « économie socialiste de marché », sans perdre sa légitimité fondamentale. Le taoïsme met l’accent sur l’interconnexion et la complémentarité des opposés (阴阳, yin-yang), ce qui se reflète dans la coexistence d’éléments de planification étatique et de mécanismes de marché, à la recherche d’un équilibre dynamique pour le plus grand bien de tous.

6. Synthèse idéologique : marxisme, tradition chinoise et socialisme à caractéristiques chinoises

Adapter le marxisme à la culture chinoise, sans dogmatisme, a été l’un des grands apports de Mao Zedong.

La remarquable capacité de la Chine à intégrer son héritage philosophique millénaire au marxisme-léninisme, pour aboutir à ce que l’on appelle le « socialisme aux caractéristiques chinoises » (中国特色社会主义, Zhōngguó Tèsè Shèhuì Zhǔyì), est le résultat d’un processus historique et idéologique délibéré connu sous le nom de « sinisation du marxisme » (马克思主义中国化).

> Sinisation du marxisme

Ce concept, promu par Mao Zedong et poursuivi par ses successeurs, consiste à adapter les principes universels du marxisme aux conditions et à la culture spécifiques de la Chine, en rejetant tout dogmatisme.

> Points de convergence et d’influence mutuelle 

– L’État comme moteur et garant : le PCC a adopté le modèle léniniste du parti d’avant-garde et du contrôle de l’État, mais l’a encadré dans la tradition chinoise de l’État « vertueux » et « ordonné ». L’État socialiste n’est pas seulement un outil pour la révolution, mais aussi l’héritier du mandat du Ciel, chargé de l’harmonie et de la prospérité pour tout le peuple. Cela justifie l’intervention profonde de l’État dans l’économie, l’orientation du crédit et le contrôle des secteurs stratégiques.

– L’harmonie sociale plutôt que le conflit : alors que le marxisme met l’accent sur la lutte des classes, dans la Chine de Deng Xiaoping et de ses successeurs, la « lutte des classes » est reléguée au second plan par rapport au « développement des forces productives » et à « l’édification d’une société harmonieuse ». Les tensions sociales sont considérées comme des contradictions que le Parti doit gérer et résoudre pour maintenir la stabilité. L’initiative « prospérité commune » (共同富裕, gòngtóng fùyù) promue par Xi Jinping vise à équilibrer la croissance économique par une distribution plus équitable des richesses, en recherchant l’harmonie sociale.

– Pragmatisme et adaptabilité : l’expression de Deng Xiaoping « traverser la rivière en tâtant les pierres » (摸着石头过河, mōzhe shítou guò hé) résume le pragmatisme chinois. Cette capacité d’adaptation influencée par le taoïsme a permis au PCC de justifier l’adoption d’éléments de marché et l’interaction avec le capitalisme mondial, non pas comme un renoncement au socialisme, mais comme une étape nécessaire dans le développement des forces productives, une exigence marxiste pour atteindre le communisme.

– Le nationalisme et le « rêve chinois » : le PCC a fusionné le marxisme-léninisme avec un puissant nationalisme révolutionnaire. Le but du communisme n’est pas seulement l’émancipation des classes, mais aussi le « grand rajeunissement de la nation chinoise » (中华民族伟大复兴, Zhōnghuá Mínzú Wěidà Fùxīng), ce qui implique de restaurer sa position de leader mondial et de surmonter « l’humiliation d’un siècle ». La prospérité économique et la puissance militaire sont présentées comme les moyens de réaliser ce destin national. L’objectif de doubler le PIB par habitant d’ici 2035 et de devenir une « nation socialiste moderne, prospère, forte, démocratique, cultivée, harmonieuse et belle » est un exemple clair de la manière dont la croissance économique est intrinsèquement liée à une vision nationale de la grandeur.

7. Conclusion : la projection mondiale du modèle chinois

Le système financier chinois est une construction délibérée, structurée de manière à empêcher les intérêts individuels – en particulier ceux des acteurs les plus riches – de saper la stabilité et le bien-être collectif du pays. Il ne s’agit pas simplement d’une question d’efficacité technique ou de pragmatisme économique ; c’est la manifestation d’une éthique de développement profondément enracinée, dirigée par l’État, imprégnée d’une tradition philosophique millénaire et syncrétisée avec le marxisme-léninisme.

La condamnation publique et exemplaire de hauts fonctionnaires tels que Wang Yong, Wu Yingjie et Jiang Jie, avec la confiscation de leurs biens et la demande de restitution, vise non seulement à punir, mais à réaffirmer le contrat implicite entre l’État et sa structure interne : quiconque trahit le mandat public et utilise la fonction politique à des fins d’enrichissement personnel, trahit le peuple et le Parti.

C’est dans cette cohérence, et non dans la spectacularisation de la sanction, que le système trouve sa légitimité et renforce son contrôle disciplinaire. L’absence de « fake news » dans la presse officielle chinoise à propos de ces affaires renforce le récit d’un système qui, dans le cadre de ses propres paramètres, recherche la vérifiabilité et l’autorité incontestable dans ses décisions judiciaires et médiatiques.

Cette logique, souvent critiquée dans le cadre des paradigmes libéraux classiques, a joué un rôle central dans la capacité de la Chine à maintenir une croissance économique continue et sans précédent, à éviter les crises bancaires systémiques majeures et à conserver un contrôle exceptionnel sur son destin économique dans un monde globalisé, en sortant sa population de l’extrême pauvreté.

Le modèle chinois représente une souveraineté globale qui s’étend non seulement au territoire et à la politique, mais aussi à l’économie et aux flux de capitaux. Il est essentiel de comprendre cette architecture pour analyser l’ordre mondial émergent et les alternatives au paradigme économique hégémonique.

 

Bibliographie
– Conseil des affaires d’État de la RPC. Plans quinquennaux
– Mao Zedong, Œuvres choisies
– Écrits confucéens, légistes et taoïstes
– Publications de la Commission centrale de discipline du PCC
– Xi Jinping, La gouvernance de la Chine
– Études sur l’économie politique et le socialisme à caractéristiques chinoises