Il a fallu des années de campagne menée par des militantes des droits des femmes dans un environnement extrêmement répressif, mais finalement, le 6 avril, le Sénat ouzbek a décidé à l’unanimité de criminaliser la violence domestique en modifiant le code pénal.

Outre les violences physiques, le harcèlement et la traque seront également punis ; les délinquants sexuels ne seront pas éligibles à une peine avec sursis.

Le Sénat a également approuvé une série de mesures qui renforceront les mécanismes de protection des femmes.

Selon les dernières données disponibles, plus de 12.000 cas de violences physiques contre les femmes ont été signalés entre janvier et novembre 2021.