En invoquant la résolution 377 de l’Assemblée générale des Nations Unies (également connue sous le nom d’Union pour la paix), adoptée le 3 novembre 1950.

Cette résolution habilite l’Assemblée générale des Nations Unies à prendre des mesures si le Conseil de sécurité ne parvient pas à le faire en raison du vote négatif d’un membre permanent, en cas de menace contre la paix, de rupture de la paix ou d’acte d’agression.

L’Assemblée peut alors examiner immédiatement la question en vue de recommander aux États membres d’adopter des mesures collectives pour maintenir ou rétablir la paix et la sécurité internationales.

Il existe des bases juridiques et des mémorandums qui soutiennent les procédures permettant de lancer des processus visant à mettre fin au génocide.

En tout cas, une réforme de l’ONU contribuerait à mettre en place des mécanismes plus rapides pour résoudre ces situations.