24 juillet (PL) La campagne d’initiations qui marque la transition à l’âge adulte continue à coûter la vie à des dizaines de jeunes sud-africains, selon des données statistiques citées ce vendredi par des médias locaux.

Le rite de la circoncision, se réalise chaque année pendant l’hiver dans ce pays du sud touchant, en premier lieu, le territoire d’Eastern Cape, où 29 adolescents ont perdu la vie.

Au moins trois infirmières comparaîtront devant la court par la suite d’un décès d’un jeune homme initié au rite de passage dans une unité de soins intensifs en début du mois de juillet.

En ce moment, la police est en train de rechercher d’autres deux personnes liées à l’assassinat, a dit le porte-parole du Département de santé, Sizwe Kupelo.Quoique le nombre de victimes mortelles à Eastern Cape soit inférieur l’année en cours (en 2014 ont a rapporté 38), les autorités ont exprimé leur souci concernant les lieux, officiels ou pas, où ces pratiques sont menées.

Les jeunes morts ou hospitalisés souffrent des infections ou mutilations au pénis, en plus de pneumonies voire de déshydratation. Après qu’on leur fait la circoncision, les jeunes hommes passent en plein forêt de deux à trois semaines avec un minimum de réserves d’eau et nourriture.

« Lors de cette période ils deviennent hommes ». Mais ces passages débouchent bien de fois en tragédie, ce qui provoque de forts débats dans plusieurs secteurs de la société sud-africaine », d’après ce qui a constaté la chaîne ANN7.

Il y a peu de temps, lorsque a couru l’information sur la première greffe du pénis réussie en Afrique du Sud, on a rapporté que le patient avait été mutilé dû aux complications occasionnées par une circoncision.

Jcc/ml/dfm

L’article original est accessible ici