Suite au Rapport Annuel 2013 sur les Droits Humains, publié par le Département d’État des États-Unis, le Ministère d’Affaires Extérieurs et Mobilité Humaine de l’Équateur répond :

Le Ministère d’Affaires Extérieurs rejet les critiques unilatérales émisses contre l’Équateur de la part des États Unis, pays qui présente, aussi, une pauvre historie au respect de l’accomplissement des Droits Humains dans les dernières années, pour laquelle il faut rappeler, entre autres, les exemples suivants : les détentions illégales, l’inexistence des procès judiciaires et les tortures dans la prison de Guantánamo ; la persistance de l’application de la peine de mort ; l’illégal et criminel blocage à Cuba, rejeté par toute la communauté internationale ; l’utilisation des avions non pilotés pour assassiner des centaines de citoyens, sans l’intervention des procès judiciaires ou réguliers, autour le monde ; la persistance de l’impunité pour les responsables de l’invasion d’Irak, avec des faux arguments reconnus par les mêmes autorités américaines, et qu’a signifié la mort des centaines de milles de citoyens innocents.

En lieu de mal utiliser leur temps en faisant des listes au plaisir, que selon leur vision tordue violent les Droits Humains dans le monde, conduite qu’a été rejeté para la Communauté d’États d’Amérique Latine et du Caraïbe CELAC, dans le II Sommet de janvier 2014, il faudrait bien que les États-Unis se préoccuperont pour ratifier, au
moins, cinq instruments du Droit International :

a) La Convention Américaine des Droits de l’Homme (Pacte de San José) ;

b) La Convention Universel contre la Torture ;

c) La Convention Universel sur les droits des Enfants ;

d) La Convention International sur les droits des Travailleurs Migrants et leurs Familles et ;

e) La Convention de Vienne sur le Droit des Traités.

Ratification à réaliser afin que ce pays puisse s’intégrer enfin, dans une position d’égalité face aux autres États, les systèmes multilatéraux de protection et promotion des Droits Humains.

Il est nécessaire de souligner que, en plus d’impulser avec un véritable compromis et efficience les Droits Humains, l’État équatorien a souscrit et ratifié la totalité des instruments interaméricains de protection des Droits Humains, pendant que les États-Unis, avec l’élaboration de leur « rapport » prétendent devenir le juge des autre pays et n’ont pas souscrit aucun des instruments mentionnés, démontrant dans la pratique aucune préoccupation pour l’établissement d’un vrai système de protection et défense régional des Droits Humains.